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Découvrez notre sélection de reproductions d'estampes de Kawase Hasui, l'un des maîtres de l'estampe japonaise du 20ème siècle. Choisissez parmi une variété de paysages saisissants, allant des montagnes enneigées aux vues urbaines animées.
Katsushika Hokusai, est un peintre, dessinateur et graveur japonais du XVIIIe siècle, spécialiste de l’ukiyo-e, ainsi qu'auteur d'écrits populaires, surtout connu sous le nom de Hokusai, ou son surnom de Gakyōjin, littéralement « Vieux Fou de dessin ».
Au cours de ses soixante-dix ans de carrière, il a réalisé une œuvre considérable de quelque 3 000 tirages couleur, des illustrations pour plus de 200 livres, des centaines de dessins et plus de 1 000 peintures. Il a rapidement abandonné le sujet étroit traditionnellement associé à l'école du « monde flottant » (ukiyo-e) dont il faisait partie, comme les images d'acteurs populaires et de courtisanes.
Les Trente-six vues du mont Fuji (1831 – 1833) comptant en réalité 46 estampes dont La Grande Vague de Kanagawa (1831) sont ses œuvres les plus connues.
Son œuvre influença de nombreux artistes européens, en particulier Gauguin, Vincent van Gogh, Claude Monet et Alfred Sisley, et plus largement le mouvement artistique appelé japonisme.
Utagawa Kunisada est né à Edo en 1786. Son père, qui mourut l'année suivante, était un poète amateur de petite réputation. Après avoir montré une forte prédilection pour l'art (il copie les dessins des acteurs de kabuki), il est accepté vers 1800 comme apprenti par l'un des plus grands maîtres du dessin sur planche de bois, Toyokuni, recevant à ce moment le nom de « gō ».
Il commence par réaliser des estampes d'acteurs, une spécialité de l'école d'Utagawa, rapidement abandonnée pour le bijin-ga. Il peint également des paysages et des guerriers, mais bien que ses débuts dans ce domaine-là soient prometteurs, il n'en fera jamais beaucoup. Il réalise également un grand nombre de shunga (gravures érotiques), avant que n'aient lieu les réformes de l'ère Tenpō en 1842.
En 1844-1845, Kunisada Utagawa change son nom d'artiste, prenant le nom de son maître, Toyokuni, et devient ainsi Toyokuni III.
Il collabore parfois avec Hiroshige et Kuniyoshi sur des séries d'estampes réalisées dans les années 1840 et 1850, alors que le Japon est en pleine période d'expansion et que les estampes sur bois sont très demandées. À cette époque, il est au plus haut point de sa carrière et domine le marché d'estampes d'acteurs de kabuki et de genji, réalisant également en grand nombre des peintures de bijin-ga et sumo-e. On estime qu'il a réalisé plus de 20 000 œuvres au cours de sa vie.
Il meurt après ses deux contemporains majeurs, Hiroshige et Kuniyoshi, décédés respectivement en 1858 et 1861. Ses dernières années sont marquées par un renouveau qualitatif : ses séries sont beaucoup plus inspirées et se démarquent de la plupart de ses œuvres antérieures produites en série. Il meurt à Edo après avoir formé plusieurs élèves tels que Toyohara Kunichika et Utagawa Kunisada II.
Il est né en 1877 à Kanazawa, dans la préfecture d'Ishikawa sous le nom Ohara Matao. Il étudia la peinture et le dessin avec Suzuki Koson dont il adopta le nom ensuite.
Il commença par des illustrations de la guerre russo-japonaise en 1904-1905. C'était l'époque où l'art des estampes traditionnelles (Ukiyo-e) n'était plus en vogue, remplacées par la photographie. Beaucoup d'artistes de ces années eurent beaucoup de succès avec ces estampes de guerre. Koson était alors enseignant à l'École des Beaux-Arts de Tokyo où un collègue américain, Ernest Fenellosa (1853-1908) le persuada de revenir à l'estampe dans le style traditionnel. Ses premières estampes de fleurs et d'oiseaux ont été publiées par Daikokuya (Matsuki Heikichi), Kokkeido (Akiyama Buemon) et Nishinomiya Yosaku.
À partir de 1912, il se consacra à la peinture sous le nom "Shoson" et ne revint à l'estampe qu'en 1926 avec l'éditeur Watanabe Shosaburo, l'initiateur du mouvement Shin Hanga (ou renouveau pictural). La plupart de ces estampes étaient exportées vers le marché américain.
Les estampes de Koson sont proches des aquarelles et réalisées avec le plus grand soin, avec un grand souci du détail, notamment sur les plumages.
Ohara Koson utilisa différent sceaux et signatures au cours de sa carrière et il est très difficile de dater précisément ses œuvres. Les estampes réalisées après le grand tremblement de terre du Kanto en 1923 ont généralement des couleurs plus vives que ses œuvres de jeunesse. Certaines ont été imprimées avec des variations de couleurs différentes.
Il est né à Edo en 1839. Son père était un riche commerçant qui avait fait sa voie dans le statut de samouraï, mais Yoshitoshi quitta la maison à l’âge de 3 ans pour vivre avec son oncle, un pharmacien qui l’aimait beaucoup.
De son vrai nom Owariya Yonejiro, il fut renommé Yoshitoshi par son maître Kuniyoshi, l’un des plus grands maîtres d’estampes japonaises, de qui il acquit tout son savoir dès l’âge de 11 ans en 1850. Bien qu’il ne soit pas considéré comme le successeur de Kuniyoshi de son vivant, il est maintenant reconnu comme son élève principal.
La première peinture de Yoshitoshi apparut en 1853, puis il ne produisit rien de nouveau durant un long moment, ceci peut-être dû à la maladie contractée par son maître Kuniyoshi durant ses dernières années. Bien que sa vie fût difficile après la mort de Kuniyoshi en 1861, il travailla énormément ; 44 œuvres étaient connues en 1862.
Dans ses premiers travaux, on retrouve un bon nombre de scènes extrêmement violentes et morbides, peut-être à l’image de l’anarchie et de la violence du Japon tout autour de lui, qui étaient arrivées simultanément avec l’effondrement du système féodal instauré par les shoguns Tokugawa aussi bien que l’impact de l’Occident. Durant cette période, sa notoriété n’a cessé de grandir, et, à partir de 1869, il fut considéré comme l’un des meilleurs artistes peintres d’estampes au Japon.
En 1873, il commença à produire beaucoup d'œuvres. Les journaux apparurent brusquement dans la mouvance de la modernisation, et Yoshitoshi fut engagé pour produire des peintures dans l’un d’entre eux.
À partir de ce moment, l'art des estampes était dans une situation difficile. Tous les grands créateurs d’estampes de la première partie du siècle, Hiroshige, Kunisada Utagawa, et Kuniyoshi, étaient morts, et cette forme d’art s'éteignait dans la confusion du modernisme japonais. Yoshitoshi insista sur les grandes normes de production et aida à le sauver temporairement de la dégénérescence.
Les dernières années de sa vie furent parmi les plus productives, avec sa grande série Cent aspects de la lune (1885-1892), et Nouvelles formes de trente-six fantômes (1889-1892), ainsi que quelques triptyques magistraux sur des acteurs et des scènes du théâtre kabuki.
Pendant cette période, il coopéra aussi avec son ami, l’acteur Danjūrō, et d’autres, dans une tentative de sauver certains des arts japonais traditionnels.
Utagawa Hiroshige, dont le nom de naissance est Hiroshige Ando, né en 1797 à Edo et mort le à Edo, est un dessinateur, graveur et peintre japonais. Il se distingue par des séries d'estampes sur le mont Fuji et sur Edo, dessinant de façon évocatrice les paysages et l'atmosphère de la ville, en reprenant les instants de la vie quotidienne de la ville avant sa transformation à l'ère Meiji (1868-1912).
Auteur prolifique, actif entre 1818 et 1858, il crée une œuvre constituée de plus de 5 400 estampes.
Il est avec Hokusai, avec qui on le compare souvent, l'un des derniers très grands noms de l’ukiyo-e et, en particulier, de l'estampe de paysage, qu'il aura menée à un sommet inégalé avant le déclin de la xylographie au Japon.
Ses séries les plus connues, les Cent vues d'Edo, Les Soixante-neuf Stations du Kiso Kaidō et surtout Les Cinquante-trois Stations du Tōkaidō, rivalisent en notoriété avec la célèbre série de Hokusai, les Trente-six Vues du mont Fuji (dont fait partie ce qui est sans doute l'estampe japonaise la plus connue, La Grande Vague de Kanagawa).
Le style d'Hiroshige est cependant bien différent de celui d'Hokusai.
Hiroshige se fait l'humble interprète de la nature, qui, à l'aide des moyens frustes de la gravure sur bois, sait exprimer comme à travers « une fenêtre enchantée » les délicates transparences de l'atmosphère au fil des saisons, dans des paysages où l'homme est toujours présent. La composition de ses œuvres est saisissante, caractérisée par une maîtrise subtile des couleurs franches — avec une dominante du vert et du bleu. Son sens du premier plan sera repris plus tard par Degas, et on le retrouvera en photographie.
Peu après la réouverture forcée du Japon aux échanges avec l'Occident, c'est principalement à travers l'œuvre d'Hiroshige que le monde découvre vers 1870 l'étonnante originalité des arts graphiques dans ce pays. Le japonisme aura une influence déterminante sur les peintres impressionnistes et ensuite sur l'Art nouveau.
Kitagawa Utamaro (喜多川 歌麿) v. 1753 - 31 octobre 1806 est un peintre japonais, spécialiste de l'ukiyo-e. Il est particulièrement connu pour ses représentations de jolies femmes (bijin-ga), mais son œuvre comprend également de nombreuses scènes de nature et d'animaux, ainsi que des albums érotiques (shunga).
Son travail parvint en Occident au XIXe siècle où il rencontra un grand succès. Il a particulièrement influencé les impressionnistes par ses cadrages audacieux et le graphisme de ses estampes. Il était alors connu sous le nom d'« Outamaro », transposition selon l'orthographe française de la prononciation de son nom (orthographe reprise à l'époque dans certains autres pays occidentaux).
Il fut surnommé en 1891 par Edmond de Goncourt « le peintre des maisons vertes » (les maisons closes), même si un tiers seulement des très nombreuses estampes que l'on connaît de lui furent en réalité consacrées au Yoshiwara. (source wikidépia)
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