Tablier traditionnel japonais en coton Ken le survivant, MAEKAKE, HOKUTO NO KEN
Tablier traditionnel japonais en coton Ken le survivant, MAEKAKE, HOKUTO NO KEN
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Largeur | 47 cm |
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Composition | Coton |
Origine du produit | Fabriqué au Japon |
Couleur | Bleu foncé |
Hauteur | 67 cm |
Tablier traditionnel japonais en coton Ken le survivant, MAEKAKE, HOKUTO NO KEN
Ken le Survivant, aussi connu sous le titre original Hokuto no Ken (北斗の拳?, trad. litt. : « Le Poing de la Grande Ourse »1 ou plus précisément « Le Poing du grand chariot »), est un manga de type shōnen imaginé et dessiné par Tetsuo Hara, et écrit par le scénariste japonais Buronson. Ken le Survivant a été à l'origine prépublié entre 1983 et 1988 dans le magazine Weekly Shōnen Jump de l'éditeur Shūeisha. .
L'histoire se déroule dans les années 1990 (ce qui était alors un futur relativement proche), sur une terre ravagée par une guerre nucléaire, ayant eu pour conséquence l'évaporation de la plupart des mers et océans, tout comme la destruction d’une grande partie de la végétation. Lors de l'introduction de la série animée on peut lire « 199X », soit une année indéterminée à la fin du XXe siècle4. Dans cet univers post-apocalyptique, les survivants sont soit d'humbles villageois s'efforçant de survivre, soit des bandits vicieux regroupés en gangs qui s'adonnent au pillage et à la persécution des villageois. Cependant, un expert en arts martiaux nommé Kenshiro, dit Ken, un homme reconnaissable aux sept cicatrices qu'il porte sur le torse (formant la constellation de la Grande Ourse), a été choisi pour devenir le successeur d'une légendaire école d'art martial assassin, le Hokuto Shinken (北斗神拳?, l'art divin de l'Étoile du Nord), dont la technique consiste à presser les points vitaux de l'adversaire pour le faire exploser de l'intérieurLe maekake est un tablier japonais de style traditionnel, noué aux hanches et porté par les artisans et le personnel de certaines boutiques. Maekake a été favorisé par les ouvriers depuis la période Muromachi du 15ème siècle. Le nom maekake vient de mae, qui signifie avant, et du verbe kakeru, pour accrocher.
L'histoire d'un vêtement japonais classique
Les origines du maekake se situent au 15ème siècle, lorsque les pêcheurs de l'ère Muromachi coupaient des tabliers de vieux tissu à voile pour nouer autour de la taille. Le nom complet et formel du vêtement est ho-maekake, ou tablier en toile à voile. Au Japon, comme ailleurs, la nécessité a conduit à la réutilisation et au remodelage de matériaux usés. La popularité du maekake a culminé dans les années 1950 et 1960. La plupart des maekake ont été fabriqués dans la ville de Toyohashi dans la préfecture d'Aichi, à quelque 300 kilomètres (185 miles) de Tokyo. Pendant l'expansion spectaculaire de l'économie japonaise de l'après-guerre, la production de maekake a explosé et les tabliers imprimés avec un nom de magasin ou d'entreprise se sont répandus parmi les brasseries de saké, les magasins vendant du riz, du miso, de la sauce soja et des engrais, et les fabricants d'aliments à travers le pays.